4/07/2012

Catherine et Joëlle vous disent bonsoir !

Journée bien chargée avec des tours et des détours dans la jolie ville fortifiée de Lauzerte pour :
 1. aller chercher dans le car le parapluie de Patrice
 2. aller chercher à l’office du tourisme la facture que Patrice n’avait pas réclamée la veille au soir
 3. acheter le pique nique pour la troupe. Les commerçants et les clients dans le sud ne sont vraiment pas pressés ni stressés comme nous, fichus Parisiens.

Menu du jour : traditionnel melon marchandé auprès du propriétaire du gîte (13 magnifiques melons pour 10 euros, qui dit mieux ?) tomates achetées au marché du "faubourg" de Lauzerte, brugnons itou, pain, rillettes d’oie (une terrine entière) et petite gâterie choisie par les deux signataires, un macaron par personne, tout chaud sorti du four, une merveille ! Ce fut fort apprécié sous la pluie.

Sur le plan plus spirituel, Marie-Bertille a joué avec bonheur les carillonneurs pour accueillir les pèlerins pour les laudes dans la très jolie chapelle de St Sernin du Bosc. La journée s’est terminée par une visite passionnante du cloître de l’abbatiale St Pierre (abbaye fondée en 506 par Clovis) avec un guide érudit et vivant.

Nous ne dirons rien de la marche, normale, au troisième jour, tout le monde est en forme ou presque ... quelques tours et détours à nouveau pour clore la journée avec le car, Marie-Hélène jouant les poissons pilotes pour le car avec les feux de détresse et pour achever les réjouissances de la journée, monter les gros et volumineux bagages au second étage pour s’entendre dire qu’on est au rez-de-chaussée puis un marathon dans les couloirs pour accéder aux rares douches : premier José, deuxième Patrice, troisième Belmira, quatrième Catherine. Et encore on ne vous raconte pas tout !

Dîner digne d’un carmel animé par une communication-webcam avec P.Pierre et les pèlerins restés au village, et par les informations données par Jacques pendant la course bruyante du chariot des desserts (mais le retour se fit dans le silence, sur la pointe des pieds).

Ce soir, nous nous endormirons en méditant cette jolie phrase : "que la lumière de nos ampoules éclaire notre chemin".